Aaah Keflavik… Le joli nom de ce pull ne vient malheureusement ni du modèle ni de la laine, pas islandaise pour deux sous, mais de là où il a été tricoté. En effet c’est cet ouvrage qui m’a accompagnée quand je me suis retrouvée coincée à l’aéroport de Keflavik, Islande, lors d’un voyage transatlantique, à devoir patienter durant cinq longues heures le temps que l’aéroport entier soit évacué, puis que tout le monde repasse les contrôles de sécurité. Tout ça pour une sombre histoire d’avion arrivé au mauvais terminal… C’est dans ce genre de situations que je suis contente d’avoir…
Tricot
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Je suis en pleine crise stylistique en ce moment. Je ne sais pas si c’est le fait de travailler de chez moi, l’influence d’Eléonore Klein, ou simplement les tendances qui me rattrapent, mais je me rends compte que je délaisse de plus en plus mon uniforme rétro au profit de tenues plus confortables. Depuis que j’ai cousu mon jean Safran (100% confort avec ses 30% d’élasticité) je le porte au moins trois jours par semaine, avec une chemise en flanelle ouverte ou un gros sweat moelleux par dessus. Niveau couture, je commence à lorgner sérieusement du coté des patrons Grainline…
Bonnes fêtes de fin d’année à tous et à toutes ! Ces dernières semaines de 2015 ont été particulièrement éprouvantes pour moi, avec une transition d’un job à l’autre qui a été vraiment intense sur la fin, alors je suis très contente d’être enfin en vacances. Ah oui, justement cette transition, si vous n’avez pas vu passer l’info sur Instagram ou ailleurs : j’ai quitté mon boulot dans la recherche pour rejoindre l’équipe de Deer&Doe ! Beaucoup de raisons derrière ce choix sur lesquelles je ne m’étendrais pas ici (vous pouvez aller lire l’article de présentation chez Deer&Doe si vous voulez…
Heureusement que je fais de la couture, parce que si je ne devais compter que sur le tricot pour remplir ce blog, on ne serait pas sortis de l’auberge : ce gilet, je l’ai commencé en mai dernier, ça m’a donc pris près d’un an pour le finir ! Pourtant il n’est pas si long à tricoter, et en aiguilles 4,5 ça avance plutôt vite, c’est juste que mon rythme de tricot n’est pas franchement régulier. J’ai tout de même réussi à le finir tant bien que mal et je suis ravie car je l’adore !
Un peu de tricot, ça fait longtemps, non ? A vrai dire, ça fait plus de six mois que j’ai terminé ce béret. Je l’ai fini au printemps, juste quand il s’est mis à faire trop chaud pour le porter. Alors je ne vous raconte pas à quel point je suis contente de pouvoir enfin l’étrenner !