Comme une impression de déjà vu ? Hé oui, c’est bien ma deuxième Mélilot dans un tissu à imprimé flamants roses, après celle-ci. Clairement j’ai des goûts très spécifiques 😀
chemise
Je vous parlais dans le post précédent de mon amour pour les tissus Telio. Voici donc le tissu coup de cœur en question : un superbe voile de viscose bleu marine, orné de silhouettes de flamants roses blanches avec un peu de corail en accent. Des couleurs profondes, une douceur à tomber, et mon animal fétiche (allez j’inaugure le tag « flamingos » sur ce blog pour l’occasion !), que demander de plus ? 🙂
Suite à mes mésaventures de déménagement, j’ai quitté la Caroline du Nord pour aller m’installer à Boston avec mon mari, du moins la moitié de l’année où je ne serai pas à Toulouse à travailler sur les nombreux projets de Deer&Doe. Les conséquences se sont vite faites sentir : au-revoir le climat chaud de l’été indien carolinien, à Boston on se les pèle ! Ce qui m’a tout de suite donné envie de me coudre une chemise en flanelle bien cosy dans laquelle m’emmitoufler.
Depuis que je l’ai finie, j’ai énormément porté énormément ma chemise Mélilot en viscose, qui est super confortable et va aussi bien sur un pantalon que rentrée dans une jupe. J’avais bien envie de m’en coudre une autre, et j’ai choisi cette fois ci de faire la version B, à manches courtes et col mao.
Le deuxième patron de la collection printemps-été 2016 de Deer&Doe dont je peux vous présenter ma version, c’est la chemise Mélilot. Même s’il s’agit du même type de vêtement, Mélilot est très différente du patron de chemise précédent de Deer&Doe, Bruyère (que j’avais réalisée ici, et également ici pour le blog de Deer&Doe). Elle est à la fois plus décontractée – tandis que Bruyère est cintrée à la taille par une ceinture, Mélilot est plus lâche et fluide – et plus technique : un col avec pied de col, de vraies pattes de manches, des coutures anglaises partout, les finitions sont nickel.