Après une période des fêtes très chargée, j’ai du mal à retrouver mon rythme de couture et de tricot habituel. Peut-être que de faire le bilan de l’année passée arriverait à me motiver pour celle qui commence, et me ferait reprendre le chemin de la machine à coudre avec enthousiasme ? Cette année, j’ai eu envie de me prêter au jeu des Top 5 de Gillian du blog Crafting a Rainbow. Voici donc mes top 5 de l’année, dans 5 catégories : les succès, les ratés, les points forts, les réflexions, et les envies pour la suite. Préparez-vous pour un article à rallonge !

Commençons avant tout par quelques chiffres. En 2018, j’ai cousu :

9 projets pour moi (dont 4 avaient été commencés en 2017)
5 projets offerts en cadeau : une veste Nénuphar, un trench Luzerne et une trousse de toilette pour ma soeur, deux t-shirts Plantain pour ma maman
19 projets pour Deer&Doe : versions finales des patrons, samples pour la boutique, tutoriels pour le blog… sans compter plusieurs dizaines de toiles intermédiaires!

Sur les 9 projets pour moi, 6 ont été cousus à partir de patrons Deer&Doe, ce qui nous fait donc un total de 29 patrons Deer&Doe sur les 32 vêtements cousus cette année ! 😮

Côté tricot, je n’ai fini qu’un pull pour moi et un bonnet pour ma belle-soeur. Il faut dire que j’ai passé une bonne partie de l’année à tricoter un pull Boxy pour apprendre la méthode continentale, mais il est encore loin d’être fini !

LE TOP 5 DES PROJETS REUSSIS

Ces projets sont ceux dont je suis le plus satisfaite : ceux que j’ai le plus portés et qui s’intègrent parfaitement à ma garde-robe, ou dont je suis particulièrement fière !

1 – Robe Myosotis en chambray

Le vêtement que j’ai le plus porté cette année est sans conteste ma robe Myosotis en satin de coton chambray. C’est vraiment le vêtement que j’enfile quand je n’ai pas envie de m’habiller le matin : elle est super confortable quand il fait chaud, et fonctionne aussi très bien avec des leggings et un gilet quand il fait plus frais. En plus de la silhouette, je pense qu’une grande partie de son succès est due à sa couleur : ce bleu chambray fait ressortir mes yeux et me donne bonne mine.

2 – Robe Givre en jersey fleuri

En deuxième position des vêtements les plus portés, c’est ma robe Givre en jersey fleuri. Pour tout vous dire je ne pensais pas la porter autant, car mon poids a pas mal fluctué cette année et je ne suis pas toujours très à l’aise avec les silhouettes près du corps comme celle-ci, mais le tissu la rend complètement irrésistible ! Le jersey brossé est toujours aussi doux après des mois de portage intensif, et il n’a pas bougé d’un poil ni bouloché ! Il me faut vraiment d’autres vêtements dans ce type de tissu.

3 – Jupe Rosari en velours de coton

Techniquement parlant je n’ai pas encore tant porté cette jupe que ça, puisque je l’ai finie en fin d’année… mais qu’est-ce que je l’aime ! Parfois avec un projet on a une idée fixe en tête, et le résultat est exactement comme on l’imaginait, voire encore mieux. C’est le cas ici : j’adore la forme de la jupe Rosari, la couleur profonde de ce velours – un vert forêt qui égaie ma garde-robe d’hiver, les boutons cuivrés… Je suis aussi très contente des ajustements réalisés pour mes fesses et ma cambrure, que je compte bien rentabiliser en cousant d’autres jupes Rosari !

4 – Pull Bubbly en alpaga

Mon seul gros projet tricot de l’année a été un succès retentissant ! J’ai adoré tricoter ce pull, qui était mon tout premier en jacquard, et je ne le quitte plus. L’alpaga de Drops est d’une douceur incomparable, et les modèles d’Isabell Kraemer sont tout aussi sympas à tricoter qu’ils sont agréables à porter.

5 – Robe Magnolia en velours dévoré

Ce top 5 ne serait pas complet sans y mentionner ma Magnolia en velours dévoré ! Je suis vraiment fière de cette robe, qui a nécessité des mètres de couture à la main sur du velours glissant, et qui me va comme un gant. Je pense que les robes de soirée comme celle-ci sont le type de projets que j’aime le plus coudre, avec leurs détails couture et leurs tissus luxueux.

 

LE TOP 5 DES PROJETS RATES

C’est avec les ratés qu’on apprend, et disons que les occasions d’apprendre ne me manquent pas ! Mauvais choix de tissu, patron approximatif, style douteux et bourdes en tout genre font que ces projets n’ont pas rencontré le succès escompté…

1 – Body Nettie en velours

Un body nécessite un tissu élastique en largeur mais aussi en hauteur, et mon velours ne l’était clairement pas assez. J’ai tenté le sauvetage en coupant le bas pour le transformer en t-shirt, mais le résultat est tout de même trop serré et pas franchement confortable, surtout dans ce polyester pas du tout respirant. A retenter dans un tissu adapté, parce que j’aime bien l’idée tout de même !

2 – Robe Chiara

Désastre complet pour cette robe : un tissu trop fin qui se fronce à la moindre couture, des instructions de montage pas très convaincantes et une tentative de doublure hasardeuse ont eu raison de moi. Je l’ai laissée en plan pendant plus d’un an avant de me résoudre à monter la fermeture éclair, tout ça pour un fit si moisi que je n’ai même pas pris la peine de faire les ourlets.

3 – Robe Myosotis en vichy

En théorie, rien à reprocher à cette robe : j’aime beaucoup l’association du vichy avec les fronces et volants de Myosotis, et je lui trouve un côté printanier très mignon. Alors pourquoi ne l’ai-je portée qu’une seule fois depuis que je l’ai cousue ? Je pense que c’est parce que je l’ai terminée juste avant l’été, et que ce vichy de polyester n’est pas le plus agréable quand les températures sont très hautes. J’espère pouvoir la porter davantage au printemps, à voir.


4 – Gilet Myrna

Le gilet Myrna marquera le moment où je suis tombée en désamour avec les modèles d’Andi Satterlund. Il y a encore quelques années je ne jurais que par ses pulls et gilets cropped, à porter sur des jupes taille-haute, mais après avoir testé des patrons d’autres designers je me rends compte que je n’aime pas du tout la construction et le fit de ses modèles, en particulier les manches. Avec celles de Myrna, j’avais l’impression de ressembler à Blanche-Neige, et j’ai tellement détesté le rendu que je n’ai même pas voulu le bloquer. J’ai tout détricoté pour commencer un Daelynn à la place, qui correspond mieux à ce que j’ai envie de porter ces derniers temps.


5 – Robe Bruyère

Je vous expliquais déjà dans l’article consacré à cette robe que je la trouvais assez « bof », et c’est toujours le cas. Elle est pas mal, mais bon, sans plus. Pas le genre à m’inspirer de la joie façon Marie Kondo, quoi.

 

LE TOP 5 DES POINTS FORTS DE L’ANNEE

Que s’est-il passé dans ma vie en 2018 en dehors de la couture et du tricot ? Avec mes aller-retours incessants entre la France et les Etats-Unis je perds complètement la notion du temps et j’oublie vite les moments marquants, alors qu’il s’en est passé des choses…

1 – L’entrée dans la trentaine

En 2018 j’ai eu 30 ans, et cette entrée dans une nouvelle décennie est un symbole très fort et positif pour moi. Déjà parce que, et c’est un peu dark je l’admets, à force de me battre contre des idéations suicidaires quotidiennes liées à ma dépression depuis que je suis ado, j’ai été longtemps persuadée que je n’atteindrais pas mes 30 ans. Et ben si ! PAF, dans les dents la dépression ! D’autre part parce que je vois la trentaine comme une décennie bien plus positive et assurée que celle de mes 20 ans : je sais qui je suis, je sais ce que je veux, et je n’ai plus de comptes à rendre à personne.

2 – Le retour dans le Sud des Etats-Unis

2018 marque aussi notre retour en Caroline du Nord, après deux ans passés à Boston ! L’installation à Boston avait été plus subie que choisie, et si j’ai vécu quelques bons moments là bas j’ai vraiment détesté le climat. Le froid, la pluie, la neige et le verglas la moitié de l’année, l’air sec qui pique les yeux… J’étais malade tout le temps et je sortais à peine de chez moi. De retour dans la chaleur et l’humidité du Sud je me sens vraiment dans mon élément. J’ai retrouvé mon lac, les oiseaux qui chantent, et l’air qui sent le chèvrefeuille ❤️

3 – La reprise du co-working

Dans la même lignée, un des points les plus difficiles de 2017 pour moi avait été le télétravail : ne voir personne de la journée, au bout d’un moment, ça pèse. Et avec le bébé d’Eléonore, plus possible de travailler de chez elle lors de mes séjours en France ! Nous avons donc emménagé dans un atelier dédié, situé dans un espace collaboratif rempli d’artistes et de créatifs de tous horizons, et j’ai également déniché un espace de co-working où aller travailler à temps partiel quand je suis aux Etats-Unis. Ca fait vraiment une grosse différence niveau moral !

4 – Les voyages

Depuis que j’ai rejoint Deer&Doe en tant qu’associée, je n’ai pas pris de vraies vacances, à part quelques jours à Noël, et je dois dire que cela me manque beaucoup de voyager. Mais en 2018 je me suis bien rattrapée sur les week-ends ! J’ai été voir des chateaux en Allemagne et flâner dans les rues de Montpellier, j’ai fait la touriste à NYC et à Las Vegas, la fête à Bordeaux et de la rando dans les Appalaches et dans la Drome… Des moments de magie bienvenus pour casser le quotidien.

5 – La méthode curly girl

Ce point là semble un peu futile, mais c’est une vraie révolution pour mes cheveux ! Après avoir étudié en profondeur la méthode curly girl, j’ai complètement arrêté les sulfates, silicones, brushings et autres fers à lisser pour laisser mes cheveux boucler naturellement. J’expérimente encore et il me reste beaucoup à apprendre, mais c’est déjà impressionnant à quel point mes cheveux sont devenus brillants et moins cassants, en bref en bien meilleure santé !

 

LE TOP 5 DES REFLEXIONS

C’est le moment du bilan ! En repensant à l’année passée, à mes projets créatifs terminés et à ceux qui n’ont pas abouti, plusieurs choses me viennent à l’esprit…

1 – Il faut que j’apprenne à prioriser mes projets persos

De manière générale, j’ai beaucoup de mal à trouver, ou tout du moins à prendre du temps pour coudre autre chose que du Deer&Doe, et aussi à déculpabiliser de le faire. Après tout, quitte à coudre, autant que ça serve aussi pour le boulot, non ? Du coup de mai à octobre je n’ai cousu que pour le travail, et je n’ai pas touché à mes aiguilles à tricoter. J’étais débordée et il y avait toujours quelque chose que je « devais » faire qui passait devant ce que je « voulais » faire. Je ne me suis rendue compte d’à quel point cela m’avait manqué qu’en fin d’année, quand j’ai pris du temps sur un weekend pour coudre ma jupe Rosari, et que je me suis sentie moi-même à nouveau. Si je veux éviter le burn-out, il faudrait que je me force à prendre du temps pour mes loisirs qui ne fasse pas secrètement double-emploi.

2 – J’ai énormément progressé en technique grâce aux cours en ligne

2018 était sans conteste l’année des nouvelles techniques ! Grâce aux vidéos de Lise Tailor, j’ai enfin appris à maitriser la méthode continentale, et ma vitesse de tricot a fait un bond pas possible. J’ai suivi un cours Artesane pour apprendre à teindre de la laine, et je me suis abonnée à Bluprint, le service illimité de Craftsy qui est une vraie mine d’or. Je recommende très vivement Bluprint pour les anglophones : les cours sont de très bonne qualité, et rentrent en profondeur dans des sujets vraiment divers. Cette année j’ai ainsi pu apprendre tout sur les méthodes tailleur pour coudre mes premiers manteaux, et j’ai aussi appris à faire un pain au fromage délicieux 😉

3 – J’aimerais me réserver plus de temps pour bloguer

Je n’ai jamais été une blogueuse très productive, c’est vrai. Cette année, j’ai écrit 14 posts en tout et pour tout, exactement autant qu’en 2017. Et même si chaque année j’ai l’impression d’avoir posté beaucoup moins que l’année précédente (et que ça me culpabilise à fond), en réalité je tourne toujours autour du même volume :
Mais j’aimerais bien poster plus ! D’une part, parce que j’aime avoir cette archive de mes projets, à laquelle je me réfère souvent quand je pense recoudre un patron. D’autre part, parce que j’ai envie de partager plus avec la communauté couture et tricot, et que le format blog me permet d’aller plus en profondeur dans mes remarques et critiques que je ne le ferais sur Instagram. Enfin, parce que bloguer est aussi une activité créative en soi : choisir une tenue, un lieu, prendre les photos, faire les retouches couleur, écrire le texte et voir le résultat final prendre forme, chaque partie de ce processus est intéressante et gratifiante. A l’heure actuelle j’ai encore 10 projets en attente qu’il faut que je poste sur le blog, dont 7 qui n’ont même pas été photographiés (et que je n’ose pas porter en attendant !), mais ce sont des vêtements d’été et je ne peux pas vraiment les prendre en photo en ce moment vu les températures… C’est vraiment la partie la plus bloquante pour moi, les photos : j’ai du mal à prendre des photos toute seule avec un trépied et ça me prend des heures, et encore plus de mal à m’organiser avec Phil pour qu’il m’aide à prendre des photos le weekend, et quand le temps est assez beau pour en faire ce sont mes cheveux qui n’ont pas envie de collaborer… Ca et de traduire systématiquement mes posts du français vers l’anglais, ou vice versa, qui double la charge de travail pour chaque article.

Je pense qu’il faudrait que je revoie un peu mes attentes à la baisse niveau qualité, sinon je n’arriverai à rien. Sans me fixer d’objectif en terme de nombres de posts pour 2019, ce que j’aimerais c’est rétablir mon rituel du dimanche matin : chaque semaine, Phil et moi allions nous installer dans notre coffee shop préféré pour notre session de « coworking », et j’écrivais mon post de blog de la semaine en sirotant un chocolat chaud pendant que lui travaillait à ses projets persos. Je pense que ça m’aiderait à rétablir le fait de bloguer comme un loisir en soi plutôt qu’une corvée.

4 – J’adore Instagram, même si parfois ça me pèse

A défaut de poster sur le blog, j’ai eu des périodes en 2018 où j’étais très active sur Instagram, en particulier pour #memademay et #bpsewvember. Cela peut paraître un peu superficiel, mais ces mini-défis quotidiens m’aident beaucoup à gérer ma dépression quand j’ai du mal à trouver de la motivation pour faire quoi que ce soit. J’ai aussi eu d’autres périodes où j’ai complètement disparu des réseaux sociaux pendant plusieurs mois, parce que ça me faisait trop à gérer en même temps, ce qui me culpabilise aussi pas mal. Je pense que je vais essayer de continuer à participer sans me prendre la tête cette année : interagir avec la communauté quand je le sens et rentrer dans ma carapace pour récupérer quand j’en aurai besoin. Ce qui est sûr c’est que je continuerai à faire Me Made May !

 

View this post on Instagram

 

A post shared by Mamie / Camille (@mamie_camille) on

5 – J’ai bien attaqué mon stock de tissus au final

C’était un de mes objectifs principaux de l’an dernier : coudre les tissus de mon stock plutôt que d’en acheter de nouveaux. Le but n’était pas tant de faire de la place que d’utiliser ces tissus que j’adore et dans lesquels je n’osais pas couper. Finalement je n’ai pas utilisé autant de ces tissus là que je le voulais, surtout car je n’ai pas cousu beaucoup pour moi. Par contre mon stock a quand même bien diminué, car je me suis poussée à utiliser à la fois mes restes de tissu et les coupons que je n’aimais plus trop pour faire des toiles portables. J’espère bien continuer sur cette lancée en 2019, pour faire de la place et des économies en même temps !

 

LE TOP 5 DES ENVIES POUR 2019

Pour cette dernière partie je préfère parler d’envies plutôt que d’objectifs, car je voudrais éviter avant tout de me mettre la pression et m’assurer que la couture et le tricot restent des loisirs cette année. Voici donc ce qui me motive en ce moment, en vrac :

1 – Coudre pour le plaisir

Cette année j’aimerais coudre pour moi, sans planning ni deadlines, simplement coudre des projets qui me font envie. Je voudrais retrouver l’enthousiasme de mes premières années de couture où je pouvais coudre un projet sur un coup de tête en tombant sur un patron qui me plaisait, et pouvoir prendre une après-midi pour coudre un projet sans me préoccuper d’en couper trois d’un coup pour optimiser mon temps de couture.

2 – Découvrir de nouvelles techniques

Dans le même esprit, j’ai envie de créer pour le processus lui-même sans forcément me soucier du résultat. Pour moi cela veut dire expérimenter avec de nouvelles techniques de couture, mais aussi de tricot. En couture, j’aimerais tester de coudre une braguette à boutons, des vêtements de sport, voire même des sequins. En tricot, j’ai très envie de tenter un pull en jacquard intarsia. Et peut-être même m’essayer au patchwork !

3 – Tester d’autres marques de patrons

Toujours dans cette optique de découverte, j’aimerais bien sortir de ma zone de confort et coudre autre chose que du Deer&Doe. Alors oui, les instructions ne seront pas forcément comme je les aime, et je ne pourrais pas simplement appliquer mes ajustements habituels les yeux fermés, mais ce sera l’occasion de découvrir de nouveaux styles et de nouvelles méthodes de construction. Parmi les marques que je n’ai jamais testées et qui me tentent bien : Style Arc avec les robes Ariana et Giselle, Orageuse avec la chemise Rome, République du Chiffon avec la chemise Nadine, ou encore Anna Allen et son fameux pantalon Persephone.

4 – Profiter de mon stock de tissus

Certains tissus de mon stock y sont depuis plus de six ans, et je les aime toujours autant, voire plus. Par contre, j’ai beaucoup de mal à me détacher des idées de projets que j’avais en tête à l’époque, qui elles ne me correspondent plus vraiment. J’aimerais m’autoriser à changer d’avis, et imaginer de nouvelles utilisations pour ces tissus sans bloquer sur les patrons pour lesquels je les avais achetés au départ.

5 – Interagir avec la communauté couture/tricot

Sans me fixer d’objectif quantitatif, je voudrais faire des efforts pour participer davantage à la communauté couture/tricot en ligne, que ce soit via le blog ou les réseaux sociaux. Dans mes périodes de dépression j’ai beaucoup de mal à répondre aux messages et aux commentaires, et à interagir avec les gens de manière générale, et c’est vraiment dommage car j’y perds beaucoup. Je vais aussi essayer de documenter mes projets au fur et à mesure plutôt que d’attendre un an ou plus pour les prendre en photo, histoire de me souvenir de ce qui a été ou non et que mes remarques puissent servir à d’autres.

 

Et voici pour mes top 5 de 2018 ! C’était long dites donc, j’en avais des choses à dire 😅
Avez-vous posté un article avec votre bilan de l’année ? Si oui n’hésitez-pas à me laisser le lien dans les commentaires, j’adore lire ce type de posts !